Dans une tradition de développement personnel, il est de coutume de dire qu'on a toujours le choix.
Il est vrai que tant que l'on est dans la posture de victime, qu'on pense ne pas avoir (eu) le choix, on ne se met pas en chemin. Dire à la personne que l'on a toujours le choix, c'est l'inviter à sortir de cette posture paralysante qui est celle de la victime.
Néanmoins, cette mise en chemin ne supprime pas les épreuves et expériences, bien au contraire.
Car nous attirons à nous les expériences de nos blessures. Aussi, nous pouvons dire que l'être humain n'a pas le choix tant qu'il est mû par ses blessures et non par sa conscience.
Diane Sourcière, Pensée du 31 mai 2022