Être à l’écoute de sa voix intérieure, ce n’est pas être à l’écoute de ses peurs intérieures ; ce n’est pas non plus être à l’écoute de la colère qui met littéralement hors de soi.
L’écoute intérieure, c’est se connecter à son soi divin -la part la plus expansée de soi.
Être à l’écoute des guides, ce n’est pas se laisser entraîner par son imagination, ni écouter à toutes les portes. Quel intérêt auriez-vous à aller coller votre oreille à la porte d’un voisin alcoolique ? Il en est de même dans le monde invisible. Le monde invisible vous parle, oui, mais sachez reconnaître qui vous parle dans ce monde invisible et distinguer les voix célestes de celles du bas astral.
Devenir canal, c’est éviter deux écueils, l’imagination, - le mental est très fertile pour se faire passer pour de la conscience ; et la connexion aux basses vibrations qui se feront un plaisir de vous mener par le bout du nez.
Alors si vous commencez à recevoir des messages, assurez-vous qu’ils émanent bien d’entités célestes et lumineuses.
Diane Sourcière
Pensée du 22 décembre 2020