Il est des périodes de la vie où il nous arrive de nous sentir abandonnés de tout et de tous. Nous vivons alors une période de dépouillement et de dénuement total.
Le sentiment d’abandon peut alors nous envahir, ceci d’autant plus fort que l’on n’accepte pas la situation, que notre mental cherche à comprendre.
Le sentiment d’abandon, si fort soit-il, n’est qu’une construction du mental, construction qui fait barrage à ce qu’il reste quand tout semble nous avoir abandonnés : la Foi.
Quand le sentiment d’abandon cède la place à l’acceptation, et que nous expérimentons le plus pur dénuement, il nous reste l'essentiel : la Foi
Pensée du 20 août 2022, Diane Sourcière